Recherches vendéennes n°14 (2007)

RECHERCHES VENDÉENNES n°14 (2007) 
Dossier : Redécouvrir Jean Rivière, l’écrivain-paysan (p. 7-266)

Jean Rivière (1926-2002) s’est posé là où ont toujours vécu les siens, à Mouzeuil, en Vendée. Il a repris leur ouvrage de paysans, entre Plaine et Marais. Il a accepté de se dessaisir de ce qui encombre nos vies artificielles. Longtemps, son seul livre publié a été La Vie simple, couronné en 1970 par un grand prix. Pour donner à découvrir l’œuvre de celui qui fut sans doute le grand poète vendéen du XXe siècle, on a entrepris de publier ici des textes qu’on croyait perdus, mais aussi des témoignages d’intimes et d’amis, de Louis Chaigne à Bernard Chouraqui. Lire Jean Rivière, c’est redécouvrir l’essentiel.
Dominique SOUCHET, « ‘J’ai osé une pensée non urbaine’ : redécouvrir Jean Rivière », p. 9-17.
Anne-Marie MALALAN-CHAIGNE, « La Pilarderie et le Tour de France », p. 21-22.
Jean-Pierre MAJZER, « Tonton Jean », p. 23-24.
Gérard DE SUYROT, « À Saint-Joseph de Fontenay », p. 25-26.
Xavier RIVIÈRE, « L’oeuvre ignorée », p. 29-32.
« Lettres à un jeune étranger, par Jean Rivière », p. 33-41.
« La condition paysanne, par Jean Rivière », p. 43-46.
Dominique SOUCHET, « Mouzeuil ou le promontoire des contemplations. Une visite à la
Pilarderie », p. 47-54.
Jean-François TESSIER, « Rencontres avec Jean Rivière », p. 55-60.
James SACRÉ, « Une après-midi chez Jean Rivière », p. 61-64.
Dominique SOUCHET, « La Vendée de Jean Rivière : quelques jalons. De la Révolution
néolithique au soulèvement de 1793 », p. 65-72.
« Les coliberts du marais », p. 73.
« En l’absence de testament, par Jean Rivière », p. 75-78.
« Ode à la Vendée, par Jean Rivière », p. 79-81.
« Pour une élégie du silence, par Jean Rivière », p. 83-84.
Dominique SOUCHET, « Louis Chaigne et Jean Rivière. Un passage de témoin », p. 87-89.
« Extraits choisis de la correspondance entre Jean Rivière et Louis Chaigne », p. 91-96.
« L’abbaye marine, par Jean Rivière », p. 97-98.
« Présentation par Louis Chaigne de La Vie simple, de Jean Rivière », p. 101.
« Hommage de Jean Rivière à Louis Chaigne, lors du dévoilement de la plaque commémorative
apposée sur la maison de Louis Chaigne à Venansault le 21 mai 1977 », p. 103-105.
« Correspondance de Robert Morel avec Louis Chaigne et Jean Rivière à propos de La Vie
simple et Le Pays », p. 109-116.
« Un inconnu au monde des lettres, par Colette Boillon », p. 117-118.
« Allocution prononcée lors de la remise du grand prix catholique de littérature 1970 au cercle
interallié à Paris le 12 mars 1970, par Jean Rivière », p. 119-121.
« Mon livre est une étape, par François-Régis Barbry », p. 123-126.
« Lettre de Gabriel Delaunay à Jean Rivière du 22 août 1969, après la parution de La Vie
simple », p. 128-130.
« Toutes les rugosités de votre pensée. Lettre de Gustave Thibon à Jean Rivière », p. 131-132.
Pierre MENANTEAU, « Comment maintenir les vraies richesses ? », p. 133-135.
Lucien GUISSARD, « Lisez Jean Rivière », p.137-138.
Frédérique DAMVILLERS, « Où trouver le courage ? », p. 139-144.
Guy PERRAUDEAU, « Réflexion sur un ami poète », p. 145-147.
« L’amour de soi. Deux lettres de Gabriel Marcel », p. 149-150.
« La Terre et la vie simple, par Jean Rivière », p. 151-156.
Dominique SOUCHET, « Jean Rivière et les peintres », p. 159-160.
Yves VIOLLIER, « Double portrait », p. 161-162.
« Le très mouvant tourne autour de l’immuable : Jean Rivière et Dominique Landucci »,
p. 163-164.
Dominique LANDUCCI, « Parce que c’était lui, parce que c’était moi… », p. 165-167.
« Les sept bleus de Roger Ducrot, par Jean Rivière », p. 169-170.
« Un émoi qui se cache pour mieux se poursuivre : Jean Rivière et Roger Ducrot », p. 171.
Roger DUCROT, « Jean Rivière ou le naturel inspiré », p. 173-175.
« Le pinceau n’a qu’une seule main. Jean Rivière et Henry-Pierre Troussicot », p. 177-178.
Henry-Pierre TROUSSICOT, « Le petit livre jaune », p. 179-180.
« Le marais bleu en noir et blanc. Jean Rivière et Stéphane Archambault », p. 181-182.
« Devant un dépouillement qui s’extériorise : Jean Rivière et Jacques Launois », p. 183.
« Qu’est-ce qu’un pot ?, par Jean Rivière », p. 187-192.
« Naître, par Jean Rivière », p. 193-196.
Pierre MENANTEAU, « Un homme de plein vent », p. 197-198.
« Une sagesse issue de la terre, des arts productifs et d’une communauté durable, par
Bertrand Saint-Sernin », p. 199.
« De Vendée et de Néguev, les consciences…, par Jean Rivière », p. 201-202.
Bernard CHOURAQUI, « Jean Rivière, le paysan du temps », p. 203-206.
« Trois textes de Jean Rivière pour Écrire la vie », p. 209-210.
Marie-Paule PELLETIER, « Semeur de l’unique nécessaire », p. 211-215.
Lucie RIVIÈRE, « Jean Rivière, un regard », p. 217-221.
« Lettre de Maurice Courant à Jean Rivière », p. 223-227.
Michel MERCIER, « Il puisait dans ses ressources ultimes », p. 229-230.
Lucie RIVIÈRE, « L’acte d’inspiration », p. 231-247.
« Témoignages exprimés à la suite de la disparition de Jean Rivière le 1er juin 2002 », p. 249-252.
« La brièveté créatrice, par Jean Rivière », p. 253-255.
« Repères biographiques », p. 257-258.
« Bibliographie de Jean Rivière », p. 259-264.
Lucie RIVIÈRE, « Comment lire l’oeuvre de Jean Rivière », p. 265-266.
Études (p. 267-431)
Caroline CHAUVEAU, « Histoire et archéologie d’une seigneurie littorale en Poitou occidental : l’Olonnais du début du XIe à la fin du XIIIe siècle », p. 269-297.
Teddy VÉRON, « Les Mauges : un morceau de l’ancien Poitou arraché par l’Anjou », p. 299-322.
Gaston GODARD & Jean-Marc VIAUD, « Le constituant Séverin Pervinquière (1760-1828), un modéré resté ‘à l’abri du délire général’ », p. 323-350.
André BUJEAUD, « Henri-Adolphe Archereau (1819-1893) : un savant vendéen méconnu », p. 351-390.
André BUJEAUD, « La dernière mission du commandant Guilbaud », p. 391-414.
Fernand VERGER, « Les rivages de la baie de Bourgneuf méridionale », p. 415-431.